L’objectif de ce partenariat est de développer de nouvelles innovations technologiques afin de décarboner massivement le chauffage grâce à l’hydrogène.
BDR Thermea France, pionnier dans la conception de chaudières hydrogène, rejoint le Projet LP2H (Local Power to Heat), lauréat du Concours I-NOV 2020 (ADEME/PIA4), porté par Bulane, pionnière dans la conception d’électrolyseurs Hydrogène pour la combustion. Ce projet vise à équiper les chaudières gaz d’un électrolyseur innovant (dyomix® Plug’In Hybride Hydrogène) aux caractéristiques spécifiques, créant une véritable passerelle énergétique entre la production électrique (électrons consommés pour l’électrolyse) et les besoins de chaleur (brûleur de chaudière). Cette innovation offre la possibilité d’une décarbonation rapide de l’usage du gaz via la combustion du vecteur hydrogène, partout où la chaudière gaz reste le meilleur choix pour se chauffer.
Acteur majeur dans le développement, la fabrication et la distribution de solutions et de services durables pour le confort thermique et la production de l’eau chaude sanitaire, BDR Thermea France met un point d’honneur à développer des solutions favorisant la transition énergétique. Ainsi, l’entreprise a noué des partenariats avec différents acteurs de ce nouvel écosystème énergétique qu’est l’hydrogène. La plupart des produits de ses gammes de chaudières gaz pour le marché français permettent déjà la combustion d’un mélange gaz / hydrogène à 20 %. Une chaudière gaz 100 % hydrogène est déjà installée et en fonctionnement sur le site de Châteauneuf depuis février 2021.
De son côté, Bulane est la startup française leader des technologies d’électrolyse Hydrogène pour les applications de combustion. Elle développe et fabrique des électrolyseurs innovants (dyomix®) éco-conçus permettant de produire, sur site et sans stockage, un combustible propre et performant à partir de l’oxygène et de l’hydrogène naturellement présents dans l’eau. Pour développer ses technologies, Bulane s’appuie sur des partenariats fort avec deux laboratoires publics du CNRS (ICGM et IMFT).